Même si les montagnes s’éloignaient, même si les collines étaient ébranlées, mon amour ne s’éloignera pas de toi et mon alliance de paix ne sera pas ébranlée, dit celui qui a compassion de toi, l’Eternel.
Esaïe 54:10
Même si les montagnes s’éloignaient, même si les collines étaient ébranlées, mon amour ne s’éloignera pas de toi et mon alliance de paix ne sera pas ébranlée, dit celui qui a compassion de toi, l’Eternel.
Esaïe 54:10
Nous ne pensons pas souvent à la respiration… à moins que nous ne manquions d’air. Mais le souffle est un thème important dans la Bible.
Les couchers de soleil me rappellent le psaume 19, quand David écrit; « Avec quelle clarté le ciel révèle la gloire de Dieu… aucun discours ou mot n’est utilisé, aucun son n’est entendu; pourtant leur message est diffusé dans le monde entier et se fait entendre au bout du monde ».
La foi n’est pas une décision intellectuelle : ce n’est pas parce que je sais qu’il y a un Dieu, donc j’ai la foi. Le mot hébreu pour « foi » – emunah – est moins une question de savoir, et plus de FAIRE.
Pendant les temps bibliques, la mer avait une connotation négative pour le peuple juif. En fait, le mot hébreu pour l’eau – mayim – vient de la racine mem, signifiant «chaos», ce qui a du sens quand on considère que les Israélites ont grandi en entendant qu’une inondation a anéanti la terre.
Chaque fois que j’imagine la ville de Jérusalem à l’époque de la Bible, je pense que c’est comme à New York – bruyant, chaotique, occupé… même en désordre et violent. Mais ce n’était pas le plan de Dieu pour un lieu connu comme sa ville sainte.
À quelle fréquence utilisons-nous la prière comme simple appel d’urgence ou requête à Dieu?
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